thanks very much!!! je vais tout de suite voir ça mais faudra aussi que j'aille dormir lol ^^

Je me doute déjà que je suis encore cassé de vendredi !!! j'imagine pas dans l'Etat que vous êtes les filles

Je suis nouveau sur ce forum et je me suis inscris exprès afin de réagir au concert d'Arras.

Ayant fait le déplacement depuis la Belgique et ayant choisi d'aller à Arras plutôt qu'à Werchter, je dois dire que je suis déçu !

Le groupe est vraiment ancré dans une dimension populaire & merchandising triste à voir... Suffit de voir avant le concert toutes les pubs: Music For Relief (ça passe encore, c'est pour une bonne cause), LPU, DLP...

Alors on commence avec 10-15 min de retard pour finir avec 5-10 d'avance, merci c'est cool, on a payé 60€ le billet pour avoir 15-20 minutes en moins (soit 3-4 chansons) et surtout un One Step Closer qui aurait vraiment fait du bien en fin de concert.

Un son hyper mauvais (venez à Werchter un jour et vous comprendrez ce que c'est un bon son) que ce pour LP ou les autres (sauf peut-être QOTSA (excellent soit dit en passant) et les Chemical Brothers). Un écran géant sur la scène qui n'a servi à rien si ce n'est diffusé des animations à deux sous ou des images du concerts en noir et blanc avec des effets encore une fois plus pénible qu'autre chose. Pourquoi ne pas simplement diffusé des images du concert ou alors tout du moins sur les écrans su le coté de la scène, ça aurait été bien mieux !

Connaissant LP depuis 11 ans maintenant, je dois dire que j'ai été hyper-déçu ! Ils sont vraiment sur une pente descendante à mon sens. Je dois dire que je rejoins en de nombreux Haimu (ou Haiku j'ai déjà oublié son pseudo).

Enfin, je dois dire que l'admin de ce forum est vraiment restrictif car empêcher quelqu'un de s'exprimer (et ce poliment) par ce qu'il provoque un débat auquel on n'a pas envie de participe et parce qu'on fait de la pseudo pub pour d'autres forums, je trouve ça vraiment PETIT mais bon je me trompe surement ne connaissant pas la personne plus en détails !

Tu devrais pas te permettre de juger un admin sur une intervention car si on fait pareil avec la tienne, on peut dire que t'es un aigri pro old LP qui rabâche sa frustration depuis ce qui a suivit Météora et j'imagine que ça ne te conviendrais pas ! Hors là vis à vis d'Haimu, c'était par rapport à des posts répétitifs sur le même sujet à chaque fois, personne n'a jamais empêché personne de s'exprimer, c'est avant tout le but de débattre mais il y a la manière et la manière d'ailleurs commence par se présenter sur un forum =D

Ensuite dans les 60€, si tu as lu ton billet il y a marquer Main Square Festival et pas Linkin Park donc tu as payé pour voir tout une journée de concert, remet pas en cause le prix si tu viens que pour un groupe qui propose une setlist festival (donc plus courte), OSC ça fait 10 ans qu'ils l'a jouent, ils l'a bougent qu'11 ans plus tard, je trouve que c'est une bonne durée de vie =D
J'ai trouvé le son très bon moi personnellement (en tout cas par rapport à Bercy) Et l'écran diffuse les animations des clips pour étoffer l'atmosphère de la chanson (rien que WFTE est juste carrément classe) Après le but c'pas vraiment de matter les écrans (ou alors t'es mal placé, dans ce cas y'a de quoi être aigri vu qu'à la base t'a jusqu'à 22h40 pour te placer 8D)

Après business is business, c'est cool d'avoir des projets annexes comme le LPU, Music For Relief, c'est des plus pour les fans et les bénévols, faire de la pub ça a jamais été un mal =p
Et le concert a pas été plus court, je répète mais c'est un festival mec, pas un concert dans une salle unique pour un seul groupe =)

Bien mon Shin j'aurais pas dit mieux mais je vais juste ajouté que si tu avais été au Werchter Miracle tu aurais eu exactement le même concert avec les même pub etc... tu aurais juste eu une setlist différente...

Moi je me suis limite endormi pendant queen of the stone age... :albino:

Merci pour ton cr.
Tu pourrait te présenter s'il te plait.

En se qui concerne les admi et le membres en question il n'y à pas que sur se post ou il fait un débat.
Je ne suis pas restrictif mais il y à des limites, il peut donner son avis comme tout le monde, mais il y à des limites entre dire je n'aime pas ceci ou cela et dire que chester fait chialer les groupies du premier rang et j'en passe.
La il y à des limites il peut le penser personne ne l'en empêche mais pas l'écrire sinon sa crée un débat.

Je réagissais par rapport aux 2-3 dernières pages bien sûr... D'ailleurs si vous avez bien lu: "mais bon je me trompe surement ne connaissant pas la personne plus en détails !".

Sinon OSC est la classique de LP, le single originel, celui qu'on n'oublie pas pour ceux qui les ont découvert comme moi. Viré Crawling ou Papercut aurait été plus logique à mon sens plus logique au fond.

oh non on touche par à Papercut!!!!!

C'est surtout que certains membres du groupe (dont Chester) en ont un peu plein de le dos de l'a joué , j'écoute LP depuis HT et c'est pas un fait absolu qu'OSC est une classique d'LP que tout fan de leur début se doivent de demander constamment, c'est leur musique, leur groupe, si après 10 ans ils décident de la sortir d'une setlist parmi je sais pas combien, c'est pas un drame nationale !

J'espère que Crawling ou ITE sortiront aussi (même si l'ITE d'Arras valait de l'or) et qu'on aura droit à un ATS mis un peu plus en avant avec Blackout/BITS, le retour de W&K et Robot Boy, un peu de fraicheur dans les setlist feraient pas de mal (a) (mais pas touche à Papercut !)

Et bien j'ai adoré cette journée de l'édition du Main Square Festival.
Autant apprécier que les 3 jours réunis de l'an passé même si quelques détails (certes pas bien méchants) auraient pu être mieux gérer ce qui aurait proposé une édition supérieure à l'an passé.

L'ouverture de The Pretty Reckless donnait bien le ton de la journée qui était aux couleurs du rock'n'roll avec une Taylor Momsen fidèle à elle-même et puis... Les porte-jartelles avec le t-shirt Metallica y'a pas à dire... Je fonds et je suis amoureux d'elle. Plus que le personnage de Taylor la musique du groupe tient vraiment la route en servant un rock'n'roll sauce old school survitaminé et imagé. Malgré un public peu réceptif la blondinette a su donner un très bon coup d'envoi, quand on y pense c'est l'une des places les plus difficiles à gérer... Celle de l'ouverture du festival.

Ambiance malheureusement vite retombée avec The Gaslight Anthem. Les types sont bien, ils sont gentils et souriants, ils s'éclatent à jouer mais rien à faire la sauce ne prend pas contrairement à la bande de Momsen. On nous sert une sorte de musique rock'n'roll aux relents pop et stoner pas dégueulasse mais c'est d'un plat... D'un plat... MAIS D'UN PLAT ! On s'ennuie et on se demande quand tout cela va se terminer.
Premier souci de la programmation... The Pretty Reckless n'ayant joué qu'à peine 9 chansons, The Gaslight Anthem s'impose lourdement (oui lourdement...) avec 15 titres.

Là où le public s'impatientait pour la suite des évènements (notamment les électriques monkeyz de Shaka Ponk) on nous barbe avec pas moins de 15 titres de rock fadasses qui se ressemblent tous.

L'attente fut longue mais ils sont là, arborant tous un concept bodypaint travaillé exposant l'allure déjantée d'un groupe l'étant tout autant... SHAKA PONK pose ses tripes sur les planches et c'est parti pour 10 titres survitaminés et dansant qui réveilleront le public ankylosé par le groupe précédent. Frah et Samaha s'amusent avec le public, une proximité à noter et un humour décapant (que certains auront trouvé vulgaire o_O). Bref c'est en enchaînant les tubes de leurs deux derniers albums tels que Twisted Minda, Shiza Radio, I'm Picky, Sex Ball, Hombre que Soy pour clôturer sur le magistral French Touch Puta Madre rallongé à l'occasion du live et rebaptisé pour le coup "Arras de Puta Madre" tant le groupe semble charmé par le public qu'il a sous les yeux, un public qu'il aura su chauffer à bloc pour la guerre totale qui s'annonçait... LIMP BIZKIT.

LIMP BIZKIT, programmation intelligente de la part de l'organisation du festival, car quoi de mieux que de faire côtoyer deux grandes stars du néo-métal des années 2000 que sont Linkin Park et LIMP BIZKIT ? Là où Shaka Ponk préparait chaudement le terrain dans le public, LIMP BIZKIT balaye absolument tout tel un rouleau compresseur (ou plus justement un coup de fusil à pompe à l'image de la première chanson jouée "Shotgun" issue de leur tout dernier album). Le biscuit mou connaît les règles d'un live de folie et les applique à la lettre en jouant des titres plus électriques les uns que les autres tous tirés des opus Three Dollar Bill Yall, Significant Other ou Chocolate Starfish. Un groupe la jouant old school avec que du vieux titre des années 2000, pas de prise de risque de se retrouver devant un public ne connaissant pas leur nouveau bébé. LIMP joue la carte de la valeur sûre et offre la reprise Behind Blue Eyes qui calme un public plus déchaîné que jamais pour conclure sur le mythique Rollin' qui achève les mosheurs dans un apocalypse de sueurs, de coups et de poussière.

Show réellement survitaminé qu'a servi LIMP BIZKIT, à l'ancienne sans se prendre la tête où on a même apprécié le côté décalé du groupe à passer des interludes du Flic de Beverly Hills ou de Benny Hill lors du lancé de bières dans le public pour rafraîchir les bêtes humaines immolées par le soleil et le mosh pit.

Souci qui revient comme pour Shaka Ponk, seulement 10 titres joués alors que les rock'n rolleux de Gaslight Anthem se sont laissés voguer pour 15 chansons, amputant donc les deux groupes d'après de quelques évasions supplémentaires.

Je ne m'arrêterai pas sur les QOTSA car je n'ai rien vu du live si ce n'est le début et la fin et que ça jouait foutrement bien.

Les vraies stars que l'on attendait... Savent se faire attendre. LINKIN PARK.
Ah ceux-là... 20 minutes de retard à cause de soucis techniques au niveau de l'écran ultra-géant (soucis pas totalement réglés d'ailleurs, le show en témoignant). Après donc une attente semblant interminable, du dégommage de nana montée sur les épaules de leurs chéris (HEADSHOT !!), le groupe débarque enfin sur le discours lançant habituellement Wretches and Kings mais LP aime nous prendre par surprise et c'est Faint qui débute. Un début explosif enchaîné de Papercut et Lying from You. De quoi rappeler aux détracteurs qui est Linkin Park et qu'ils ont toujours la maîtrise du gros son. Le concert jonglera entre anciens titres dynamités et plus récents l'étant tout aussi (No More Sorrow, When they come for me, Given Up) contrastant avec une autre face du live se voulant plus intimiste, laissant place aux mélodies et à une ambiance sensible (Breaking the Habit, Iridescent). Point négatif que j'aurais à noter sur la prestation de LP c'est que le tout est allé réellement vite. Les titres se sont enchaîné à une vitesse folle ne laissant pas ou très peu de temps pour les membres du groupe d'interagir avec le public hors des chansons. Sensation un peu frustrante et de froideur à part de la part de Mike Shinoda toujours à fond qui appelle le public à maintes et maintes reprises à se déchaîner et à le suivre dans son flow hip-hop percutant. Le message à la fois de révolte mais pacificateur passe drôlement bien et le show se clôture sur l'étrange fusion mais très réussie de Bleed It Out et de A Place for My Head... Et là le bas blesse. La réaction d'une grosse partie du public étant "Mais où est passée One Step Closer ?", on nous l'a passé à la trappe et c'est bien dommage... Devant se taper le remix jazz manouche passant lors du démontage du matériel du groupe.

Un concert vraiment très sympathique, alternant la facette explosive du groupe et la facette intimiste. Le groupe est là et s'éclate à jouer, ça se voit, ça se ressent mais une proximité avec le public trop peu présente et One Step Closer brillante par son absence... Dommage. Très sympa et on se dit que le show aurait pu être mieux avec ces quelques détails noirs gommés.

Et le clou du spectacle pour ma soirée fut Martin Solveig. DJ Français à l'image sympathique loin des wannabe american tels que David Guetta. On voit un Solveig fidèle à lui-même sur sa scène, plaisantant avec le public, partageant sa culture musicale à travers divers remixes de sa part (y passent AC DC, Queen, Nirvana, rage Against The Machine, Red Hot CHili Peppers, Chemical Brothers, The Bloody Beetroots, Skrillex avec un passage dubstep foutrmeent bien senti tant les basses étaient percutantes et même Jacques Dutronc pour plaisanter amicalement) en plus de mixer ses propres titres. Un DJ simple et naturel qui aime l'auto-dérision (le passage sur écrans de ses clips en témoigne) et qui met le feu au public sans en faire de trop, voilà ce qu'est Martin Solveig. Une sacrée claque.

pour ma part j'ai étais un peu déçu du concert livré par lp,comme le dis Ragna le groupe n'a pas assez interagi avec le public et les titres se sont trop vite enchainés.
de plus le son était vraiment merdique au début,trop de basse et on entendais pas les voix,heureusement le tir a était rectifié .
je regrette de ne pas avoir eu one step closer et a place for my head, du coup pas de descente dans le public pffffff .
mais quoi qu'il en soit je suis content de les avoir revu .

A place for my head faut faire un belle croix dessus pour le son je suis ok au début c'etait du n'imp !(la 1ere chanson en gros) quand a One step closer je l'ai déjà vue 3 fois en live je peux m'en passé !

Un concert de LP sans One Step Closer c'est un peu comme si Metallica ne jouait pas Master of Puppets.

Ou pas ...

Bah si, c'est LE hit de Linkin Park.
Un concert sans, bah c'est bien quand même mais il manque un p'tit truc.